dimanche 19 avril 2009
Le manchot empereur
Le réchauffement de la Terre menace également les manchots : suite à la fonte de la calotte polaire, il devient parfois difficile pour ces oiseaux de trouver des lieux de ponte convenables. La pollution joue également un rôle : les matières toxiques qui sont rejetées en mer aboutissent souvent dans les régions du Pôle sud suite aux courants marins. Les poissons et les autres créatures marines absorbent ces matières, et en meurent… ou sont mangés par les manchots. Enfin, la pêche trop intensive (du krill et du poisson) rend plus difficile la recherche de nourriture pour les manchots.
L'orque
Les plus grand risque qui pèse sur les orques du nord de l'Océan Pacifique est la pollution par les produits chimiques. Des chercheurs ont montré que si on ne faisait rien pour rendre leur habitat plus sain, les orques auront disparu dans 150 ans.
Clique ici pour en savoir plus sur la pollution chimique.
Les orques sont aussi menacées par les filets de pêche. Il arrive souvent qu’ils se prennent dans les filets de pêche modernes et qu’ils se noient, car ils ne peuvent pas remonter vers la surface pour respirer.
La loutre
Dans nos régions, la loutre n’a qu’un seul ennemi : l’homme ! Jadis, on les chassait pour leur belle fourrure et aussi parce qu’elles concurrençaient les pêcheurs. Heureusement, la chasse est aujourd’hui interdite mais la loutre reste, malgré cela, toujours menacée chez nous. Parce que la plupart des cours d’eau sont pollués, la loutre ne trouve plus suffisamment de poissons pour s’installer le long des berges et manger à sa faim. En plus, les berges de nombreux cours d’eau ont été bétonnées, les arbres n’y poussent plus et les loutres ne peuvent donc plus y installer leur catiche. En fait, lorsqu'il y a des loutres dans les rivières, c'est que celles-ci sont en bonne santé : pas polluées, les berges intactes…on peut dire alors que la loutre est un indice de bonne santé du milieu.
Le martin pêcheur
Après les doux étés de ces dernières années, le martin-pêcheur se porte bien chez nous. Mais il reste vulnérable et protégé . Les prédateurs naturels du martin-pêcheur adulte sont l'épervier et le faucon hobereau. Les jeunes encore dans le nid doivent craindre les rats, les renards et les hermines. Le martin-pêcheur a aussi plus de difficulté à trouver un endroit pour creuser son nid. Il y a en effet de moins en moins de berges naturelles à cause de la pollution.
L'hippocampe
Ces charmants petits chevaux des mers sont malheureusement menacés : plus de 20 millions d'entre eux sont pêchés chaque année ! Ils seront utilisés dans la médecine traditionnelle asiatique (où on croit qu'ils peuvent guérir des tas de maladies, comme l'asthme). Mais un grand nombre d'hippocampes intéresse le secteur du tourisme : ils sont vendus vivants comme poissons d'aquarium ou comme bibelots et séchés dans des pendentifs dans les boutiques de souvenirs..
Le phoque moine
Le nombre de phoques moine de Méditerranée a diminué ces dernières années. Ils sont devenus très rares. Ils font partie des 6 espèces de mammifères marins les plus menacés au monde. Il n'en reste environ que 500. Le phoque moine souffre de la dégradation et de la perte de son habitat. La construction des hôtels et des habitations ainsi que le tourisme diminuent le nombre d'endroits où les phoques peuvent s'abriter. La pollution de la mer joue également un rôle : elle rend les phoques malades et ils deviennent plus faibles. À cause de la pêche excessive, les animaux trouvent moins de nourriture. Comme si cela ne suffisait pas, des phoques sont faits prisonnier, par accident, dans les filets des pêcheurs et ils s'y noient. Parfois, les pêcheurs tuent les phoques car ils les accusent de manger trop de poissons.
La tortue grecque
De nombreuses menaces mettent en danger la survie de la tortue grecque. Les incendies de forêt peuvent causer de véritables ravages. Les méthodes modernes d'agriculture ne facilitent pas la vie aux tortues, et le développement des routes et de la circulation multiplie le nombre d'individus écrasés par les véhicules. Le ramassage de tortues dans la nature pour alimenter le commerce est une des menaces les plus directes : dans les années 1960 et 1970, jusqu'à un million de ces animaux étaient capturés chaque année dans les pays d'Afrique du Nord ! Aujourd'hui, ce commerce est interdit dans les pays de l'Union européenne, mais il n'a pas disparu dans les pays d'Afrique du Nord : des dizaines de milliers de tortues grecques sont encore vendues aux touristes chaque année, ce qui met gravement en danger ces animaux dans les zones les plus fréquentées par les vacanciers.
samedi 18 avril 2009
L'hippopotame nain
Comme beaucoup d'animaux, l'hippopotame nain est menacé par l'homme qui le chasse pour sa viande. En plus son habitat ne fait que diminuer. En Guinée par exemple, les hommes coupent la forêt pour obtenir du bois et des terres à cultiver. Au Libéria, les mines de fer et de diamant provoquent l'ensablement des rivières et les plantes disparaissent. Dans le Delta du Niger, la pollution par le pétrole est le problème le plus important. Au Libéria et en Sierra Léone, pays instables, la protection et la gestion de la nature ne sont pas des priorités
Le gorille des montagnes
Il ne reste qu'environ 674 gorilles de montagne. Le braconnage et la déforestation sont les principales causes de sa disparition progressive. Les braconniers adorent le gorille pour sa viande, son crâne et ses mains, qui sont censées porter chance et se vendent à prix d'or.
Les populations des régions où vivent les gorilles abattent les arbres pour construire des habitations, faire du feu ou tout simplement pour vendre le bois. Le gorille se retrouve alors privé d'habitat et en proie aux maladies telle que la pneumonie ou la grippe, qui sont mortelles pour lui.
La chauve-souris
Le bonobo
Il ne resterait qu'entre 10.000 et 20.000 individus. Les bonobos sont très menacés : leur nombre aurait diminué de moitié durant les 20 dernières années. Les braconniers les chassent illégalement pour les vendre comme viande de brousse, comme animaux de compagnie, ou pour leurs soi-disant vertus médicinales (on les utilise notamment dans la médecine traditionnelle). Ils sont aussi victimes des guerres. Mais la plus grande menace reste la destruction de la forêt tropicale pour l'exploitation agricole (cultures, élevage...) Si la déforestation continue à la même vitesse, on pense que le bonobo aura totalement disparu d'ici 50 à 70 ans.
Le tigre de sumatra
Le jaguar
Le béluga
vendredi 17 avril 2009
Le bison européen
Le chameau de bactriane
Le panda géant
Le requin blanc
Le rinhocéros blanc
L'éléphant d'Afrique
Le loup
jeudi 16 avril 2009
La tortue luth
Le flamant rose
Le grand dauphin
La baleine noire
Le bébé phoque
Inscription à :
Articles (Atom)